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Quand les Bretons peuplaient les mers
Posté le 10 juin 2008
Je ne me sens jamais aussi bien qu’en Bretagne, au bord de l’océan.
Chaque fois — comme aujourd’hui, face à Belle-Ile, je me ressouviens de tous les marins bretons qui ont sillonné le monde. C’est à eux que j’ai consacré mon premier livre « Quand les Bretons peuplaient les mers ». En essayant d’y décrire, à travers eux, la façon d’être du Breton : la fois pragmatique et rêveur. De Jacques Cartier à Mahé de La Bourdonnais, de Kerguélen à Madec ( « Le Nabab »), de Coetanlem à Surcouf, ducs ou marchands, pêcheurs, marchands ou simples gueux, tous sont portés par la vieille mystique des chevaliers errants des contes d’autrefois.
Comme au temps du roi Arthur, l’histoire authentique de leur quête d’un autre monde est une magnifique invitation au voyage qui ressuscite les plus anciens mythes de la Celtie.
Chaque fois — comme aujourd’hui, face à Belle-Ile, je me ressouviens de tous les marins bretons qui ont sillonné le monde. C’est à eux que j’ai consacré mon premier livre « Quand les Bretons peuplaient les mers ». En essayant d’y décrire, à travers eux, la façon d’être du Breton : la fois pragmatique et rêveur. De Jacques Cartier à Mahé de La Bourdonnais, de Kerguélen à Madec ( « Le Nabab »), de Coetanlem à Surcouf, ducs ou marchands, pêcheurs, marchands ou simples gueux, tous sont portés par la vieille mystique des chevaliers errants des contes d’autrefois.
Comme au temps du roi Arthur, l’histoire authentique de leur quête d’un autre monde est une magnifique invitation au voyage qui ressuscite les plus anciens mythes de la Celtie.